Les impasses et l'autre reste
A l'évident d'un mot qu'on croyait d'infiniLa corde s'est tendue sous le poids des pendusEt la nuit des rameaux même l'oiseau a tuLa violence, l'abus de sa plume salieA ne croire à la vie qu'à la mort du désirSur l'autel infesté de ce sexe jauniLes pages ont noirci chaque phrase dénieQue le lucre étoilé soutirait au plaisirAccrochés à ce mors les enfants sans destinOnt pleuré les couteaux à la gorge de l'âmeQu'ils croyaient au troupeau réserver tout le drameMais le trait n'est pas droit dans le creux de leurs paumesEt personne n'est roi au pays de leurs mainsQu'ils veuillent se lier ou unir leurs lymphomes
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire