Au bal des nouveaux-nés
Privez-moi de mes sens
Si je ne puis prêter
Sur l'autel de l'offense
Que je vous ai donnée
Ce serment d'allégeance
Qu'un autre a incendié
Au mur nu de l'absence
A fouler les chemins
De l'orgie de nos cœurs
J'ai crevé l'or mineur
D'une envie sans dessein
Ecroulée du déni
De ce rêve au matin
Entravée de ces nuits
Dont on craint la primeur
Et la fille empalée
Sur le vit indécent
Aux transes de papier
Que l'on tord en souffrance
Pour la plaie du passé
Souffrira en silence
Par ce pacte liée
A l'odeur de l'enfance
La déviance arrimée
Dans ce qu'étaient nos heures
A filé laminée
Par le feu des rancœurs
Qu'on voudrait oublier
Mais qui dansent sans peur
Au bal des nouveaux-nés
Si je ne puis prêter
Sur l'autel de l'offense
Que je vous ai donnée
Ce serment d'allégeance
Qu'un autre a incendié
Au mur nu de l'absence
A fouler les chemins
De l'orgie de nos cœurs
J'ai crevé l'or mineur
D'une envie sans dessein
Ecroulée du déni
De ce rêve au matin
Entravée de ces nuits
Dont on craint la primeur
Et la fille empalée
Sur le vit indécent
Aux transes de papier
Que l'on tord en souffrance
Pour la plaie du passé
Souffrira en silence
Par ce pacte liée
A l'odeur de l'enfance
La déviance arrimée
Dans ce qu'étaient nos heures
A filé laminée
Par le feu des rancœurs
Qu'on voudrait oublier
Mais qui dansent sans peur
Au bal des nouveaux-nés
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