Il n'était qu'une fois
Dans la vigne enamourée
Qui se cache à l'ombre du drap
C'est ton rire mon émoi
Dans la vigne enamourée
Qui t'arrache à ton sein dressé
Le soupir des cris sans voix
Dans la vigne enamourée
Qui se cache à l'ombre du drap
Aux matins qui s'arc-en-ciel
Tu avais encor l'air des fées
Le désir de lui ou d'elle
Aux matins qui s'arc-en-ciel
Sur ce ventre qui s'est enflé
D'une tendre mélopée
Aux matins qui s'arc-en-ciel
Tu avais encor l'air des fées
C'était beau comme ces contes
Qui se racontent qu'une fois
Où rien n'existe ne compte
C'était beau comme ces contes
Tous ces récits qu'on écrit pas
Sous couvert de cette honte
C'était beau comme ces contes
Qui se racontent qu'une fois
Qui se cache à l'ombre du drap
C'est ton rire mon émoi
Dans la vigne enamourée
Qui t'arrache à ton sein dressé
Le soupir des cris sans voix
Dans la vigne enamourée
Qui se cache à l'ombre du drap
Aux matins qui s'arc-en-ciel
Tu avais encor l'air des fées
Le désir de lui ou d'elle
Aux matins qui s'arc-en-ciel
Sur ce ventre qui s'est enflé
D'une tendre mélopée
Aux matins qui s'arc-en-ciel
Tu avais encor l'air des fées
C'était beau comme ces contes
Qui se racontent qu'une fois
Où rien n'existe ne compte
C'était beau comme ces contes
Tous ces récits qu'on écrit pas
Sous couvert de cette honte
C'était beau comme ces contes
Qui se racontent qu'une fois
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