Le pourquoi sans comment
De ce que vous niez par simple pudeur parce que vous n'assumez pas d'être autant, aussi grand au sein d'un coeur. Parce que vous avez appris peut-être à vos dépends qu'il faut être méfiant. Parce que vous n'acceptez pas l'idée que l'on vous mette en avant. Parce que vous voudriez cela sans en être conscient. Parce que vous n'acceptez pas d'être, mais aussi de ressembler au néant. Parce qu'au final, c'est vous qui comptez sans être le mouvement. Parce que le balancier possède l'inertie d'une histoire sur laquelle on vous ment. Parce que la même pudeur vous en cache les fondements. Parce qu'à la vérité, vous substituez l'ombre de ce que vous rêver sans y croire réellement. Que l'autre fait pareil et qu'il croit comme vous qu'il est franc. Parce que vous comprenez mais que tout cela est décevant.
Mais nous comprenons-nous vraiment ?
Mais nous comprenons-nous vraiment ?
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