Le chemin qui s'impasse
A ces cours qu'on donnait dans un chant en latin,
Quand le poids du parpaing à l'abscisse ordonnée
Transformait son ivresse en caresse étudiée,
Que l'amant, il était, sur un lit orphelin ;
Quand la terre un lopin abhorrait l'univers,
Le soleil infini sur le jour qui s'éteint,
Que les heures comptaient sur les doigts de ses mains,
C'était l'or indécis qu'ourdissait son envers ;
Hors de mur qui l'eût ceint, les ratures taisaient
La gerçure aux relents d'une mer qui s'offrait
A ces ports et si bien, que les morts s'en souviennent ;
Sur le fil de ses riens, il tissait son enfer,
Ce doux rêve ténu, la promesse bien vaine
D'un regard opalin qu'unissait ces deux sphères.
Quand le poids du parpaing à l'abscisse ordonnée
Transformait son ivresse en caresse étudiée,
Que l'amant, il était, sur un lit orphelin ;
Quand la terre un lopin abhorrait l'univers,
Le soleil infini sur le jour qui s'éteint,
Que les heures comptaient sur les doigts de ses mains,
C'était l'or indécis qu'ourdissait son envers ;
Hors de mur qui l'eût ceint, les ratures taisaient
La gerçure aux relents d'une mer qui s'offrait
A ces ports et si bien, que les morts s'en souviennent ;
Sur le fil de ses riens, il tissait son enfer,
Ce doux rêve ténu, la promesse bien vaine
D'un regard opalin qu'unissait ces deux sphères.












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