Quand on est rentré à la maison...
Il y avait ta scène
Et ses pensées obscènes,
Nos souffles hors d'haleine,
Et les quais de la Seine ;
Sous la lune en tristesse,
A ce port de tendresse,
A la note paressent
Les anges de caresse
Comme une blessure
Dont on ne voit jamais la guérison
Nos mal-saisons à fleur de ciel
Une rature
Un accroc à la dentelle
De ta robe à volants
Comme la gageure
D’un temps foutu d’illusions
Une robe à jupons
C'est un peu comme avant
C'est la musique du vent
Celle qui venait sur le blanc
Quand on se regardait encore
Avec nos yeux d'amants
C'est comme une chanson
Au fond de cette maison
Où les gens de raison
Ne mettent plus le pied d'abord
De peur des vices, des malfaçons
Tu peux me tendre cette main
Qui n'est plus à l'accord
De notre saison
Je glisserai sans effort
Vers cette douce mort
C'est un peu comme avant
Comme le fond de cette chanson
Comme une musique lancée au vent
Celle qu'on a laissée sur le banc
Quand on est rentré à la maison
Et ses pensées obscènes,
Nos souffles hors d'haleine,
Et les quais de la Seine ;
Sous la lune en tristesse,
A ce port de tendresse,
A la note paressent
Les anges de caresse
Comme une blessure
Dont on ne voit jamais la guérison
Nos mal-saisons à fleur de ciel
Une rature
Un accroc à la dentelle
De ta robe à volants
Comme la gageure
D’un temps foutu d’illusions
Une robe à jupons
C'est un peu comme avant
C'est la musique du vent
Celle qui venait sur le blanc
Quand on se regardait encore
Avec nos yeux d'amants
C'est comme une chanson
Au fond de cette maison
Où les gens de raison
Ne mettent plus le pied d'abord
De peur des vices, des malfaçons
Tu peux me tendre cette main
Qui n'est plus à l'accord
De notre saison
Je glisserai sans effort
Vers cette douce mort
C'est un peu comme avant
Comme le fond de cette chanson
Comme une musique lancée au vent
Celle qu'on a laissée sur le banc
Quand on est rentré à la maison
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