Berceau des illusions
Y'avait cette demeure
Qu'on appelait maison,
Des papillon des fleurs
En guise d'illusion,
Et le grillon charmeur
Chantait nos pulsations ;
Te souviens-tu de l'heure
La lune et son prénom ?
Nos corps rimant ailleurs
Avaient construit le pont,
Au soleil plein d'ardeur
Brûlant tes blés si blonds ;
Y'avait ce La par coeur
Sonnant à l'unisson,
L'humeur oiseau planeur
Sur la toile sans fond,
Et la note en mineur
C'était pour les lapons ;
Mais l'aube sans sa soeur
N'est pas même une question ;
Le bleu est sans odeur,
Le rouge vermillon,
Et l'enfant qui se meurt
Ne demande pardon ;
Y'avait ce rêve con
Qu'on dresse sans honneur
Au ciel d'un bonheur,
Une tombe sans nom,
Que l'on couvre de fleurs
Privées de papillons.
Qu'on appelait maison,
Des papillon des fleurs
En guise d'illusion,
Et le grillon charmeur
Chantait nos pulsations ;
Te souviens-tu de l'heure
La lune et son prénom ?
Nos corps rimant ailleurs
Avaient construit le pont,
Au soleil plein d'ardeur
Brûlant tes blés si blonds ;
Y'avait ce La par coeur
Sonnant à l'unisson,
L'humeur oiseau planeur
Sur la toile sans fond,
Et la note en mineur
C'était pour les lapons ;
Mais l'aube sans sa soeur
N'est pas même une question ;
Le bleu est sans odeur,
Le rouge vermillon,
Et l'enfant qui se meurt
Ne demande pardon ;
Y'avait ce rêve con
Qu'on dresse sans honneur
Au ciel d'un bonheur,
Une tombe sans nom,
Que l'on couvre de fleurs
Privées de papillons.
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