Une promesse dans la main
Assise sur sa lune,
Elle a pris la lagune,
Une clope à ses doigts,
Ses pensées loin des lois ;
Dans ce froid qui la prend,
Qui voudrait à ses nues,
Pendre un voile de plus,
De frous-frous sans volant ?
Y'a la nuit qui l'appelle,
Et les étoiles qui mentent,
Dans la main cette promesse,
A peine d'un baiser,
Peut-être d'une caresse ;
Et dans l'heure qui dit ciel,
C'est son corps qui la hante ;
Et demain à la une
Tous les maux de rancune
Seront l'épais miroir
D'un début, d'un départ ;
Dans cet oubli de vie
Qui voudrait à son coeur
Accrocher la rancoeur
D'un frou-frou qu'on replie ?
Mais la nuit qui l'appelle,
Et les étoiles qui plantent,
Dans sa main cette promesse
D'un ailleurs, d'un brasier,
Peut-être d'une tendresse ;
Et dans l'heure de dentelle,
C'est ce "lui" qui l'aimante ;
Peut-être n'est-il pas trop tard
Pour laisser ses larmes
sur le papier buvard...
Laisser les armes
S'offrir à cet amant
Qui n'en demande pas tant...
Elle a pris la lagune,
Une clope à ses doigts,
Ses pensées loin des lois ;
Dans ce froid qui la prend,
Qui voudrait à ses nues,
Pendre un voile de plus,
De frous-frous sans volant ?
Y'a la nuit qui l'appelle,
Et les étoiles qui mentent,
Dans la main cette promesse,
A peine d'un baiser,
Peut-être d'une caresse ;
Et dans l'heure qui dit ciel,
C'est son corps qui la hante ;
Et demain à la une
Tous les maux de rancune
Seront l'épais miroir
D'un début, d'un départ ;
Dans cet oubli de vie
Qui voudrait à son coeur
Accrocher la rancoeur
D'un frou-frou qu'on replie ?
Mais la nuit qui l'appelle,
Et les étoiles qui plantent,
Dans sa main cette promesse
D'un ailleurs, d'un brasier,
Peut-être d'une tendresse ;
Et dans l'heure de dentelle,
C'est ce "lui" qui l'aimante ;
Peut-être n'est-il pas trop tard
Pour laisser ses larmes
sur le papier buvard...
Laisser les armes
S'offrir à cet amant
Qui n'en demande pas tant...
2 commentaires:
merci...
Merci Éric.
Merci.
C'est nul mais c'est tout ce que je trouve à dire.
...
-merci-
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