Quand le ciel est trop haut pour nos pas....
A la sueur des hommes qui ne savent plus rien dire
Dans la lueur des yeux des enfants qui ne savent plus grandir
C'est le bazar ambiant qui ne trace plus la ligne
Qui ne cache plus son sexe d'une feuille de vigne
Des miettes de pain lancées sur les trottoirs de la ville
Des pigeons un peu cons qui les ramassent
Des étoiles qui tombent, des cerveaux à la masse
Ce sont les rats qui s'en reviennent par mil
Tue-moi ce gosse que je ne saurais voir
Celui qui m'a enceinte de ses mains est peut-être son père
Ecoute mes délires, mes mots sans demain, ma prière
Je n'ai plus que des envies, je me fous de devoir
Regarde-moi, embrasse-moi de toute ta langueur
Fais-moi oublier que je suis petite, et mes malheurs
Emporte-moi là-haut, là où les oiseaux n'ont pas de hauteur
Fais-moi l'amour et oublie-moi dans l'heure
Les corps sont des rochers qui prennent le vent
La mer les usera mais ils resteront là
Les morts n'ont plus de place sur le banc
Les cadavres auront le teint livide sur nos pas
Dans la lueur des yeux des enfants qui ne savent plus grandir
C'est le bazar ambiant qui ne trace plus la ligne
Qui ne cache plus son sexe d'une feuille de vigne
Des miettes de pain lancées sur les trottoirs de la ville
Des pigeons un peu cons qui les ramassent
Des étoiles qui tombent, des cerveaux à la masse
Ce sont les rats qui s'en reviennent par mil
Tue-moi ce gosse que je ne saurais voir
Celui qui m'a enceinte de ses mains est peut-être son père
Ecoute mes délires, mes mots sans demain, ma prière
Je n'ai plus que des envies, je me fous de devoir
Regarde-moi, embrasse-moi de toute ta langueur
Fais-moi oublier que je suis petite, et mes malheurs
Emporte-moi là-haut, là où les oiseaux n'ont pas de hauteur
Fais-moi l'amour et oublie-moi dans l'heure
Les corps sont des rochers qui prennent le vent
La mer les usera mais ils resteront là
Les morts n'ont plus de place sur le banc
Les cadavres auront le teint livide sur nos pas
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