On n'en sait rien
Comme une nuit qui se couche trop tard,
Comme un soleil qui se lève trop tôt,
Comme les cordes d'une guitare
Qui s'emmêleraient à nos pinceau ;
C'est l'air vif du grand large
Qu'accroche du sel à nos hublots,
Comme un marin avec sa barge
Prendrait la mer dans son rafiot ;
C'est comme ça tous les matins ;
Ca sent l'été quand vient le soir ;
N'en reste rien, c'est du grand art,
Quand vient la brume où trainent les chiens
Ca sonne un peu comme ces chagrins
Qui s'en retournent au coin du feu,
Toutes ces rimes qui ne riment à rien,
Comme cette chanson de nous deux ;
Face au soleil qui ne sert à rien,
A cette nuit qui ne sert qu'à boire,
On dessinera sur le velin,
Derrière le trait, juste pour voir,
Des points de couleurs, même au fusain,
Ca ne servira peut-être à rien,
Ca rallumera peut-être l'espoir...
Et peut-être bien que demain sur le fil de nos voeux
On pourra tendre les mains au ciel
Peut-être même nos yeux
Comme un soleil qui se lève trop tôt,
Comme les cordes d'une guitare
Qui s'emmêleraient à nos pinceau ;
C'est l'air vif du grand large
Qu'accroche du sel à nos hublots,
Comme un marin avec sa barge
Prendrait la mer dans son rafiot ;
C'est comme ça tous les matins ;
Ca sent l'été quand vient le soir ;
N'en reste rien, c'est du grand art,
Quand vient la brume où trainent les chiens
Ca sonne un peu comme ces chagrins
Qui s'en retournent au coin du feu,
Toutes ces rimes qui ne riment à rien,
Comme cette chanson de nous deux ;
Face au soleil qui ne sert à rien,
A cette nuit qui ne sert qu'à boire,
On dessinera sur le velin,
Derrière le trait, juste pour voir,
Des points de couleurs, même au fusain,
Ca ne servira peut-être à rien,
Ca rallumera peut-être l'espoir...
Et peut-être bien que demain sur le fil de nos voeux
On pourra tendre les mains au ciel
Peut-être même nos yeux
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