Un soleil incertain...
Quant à la nuit s'enlacent
Les mots la mélodie
d'un espoir mal écrit
Dont on garde la trace
Un murmure qui passe
Un souvenir lointain
A la vitre du rien
sur le trottoir d'en face
On relève on expulse
On se crève on s'emporte
Ces rêves qui s'révulsent
Ces sèves qu'on avorte
On referme la porte
On efface l'absence
D'une idée qui l'offense
D'une flamme pas morte
Cette lueur qui s'éteint
Sur le quai d'une gare
Un regard incertain
Sur un ciel qui s'égare
Et la lune caresse
La folie d'une étoile
L'ambolie d'un caillou
Qu'à ces yeux de tendresse
Auraient dressé les voiles
Et qui dorment debouts
C'est à son crépuscule
Que commence leur vie
Plein de bouts minuscules
D'un visage qui rit
Un soleil plein d'nuages
Qui vient comme il s'enfuit
Les mots la mélodie
d'un espoir mal écrit
Dont on garde la trace
Un murmure qui passe
Un souvenir lointain
A la vitre du rien
sur le trottoir d'en face
On relève on expulse
On se crève on s'emporte
Ces rêves qui s'révulsent
Ces sèves qu'on avorte
On referme la porte
On efface l'absence
D'une idée qui l'offense
D'une flamme pas morte
Cette lueur qui s'éteint
Sur le quai d'une gare
Un regard incertain
Sur un ciel qui s'égare
Et la lune caresse
La folie d'une étoile
L'ambolie d'un caillou
Qu'à ces yeux de tendresse
Auraient dressé les voiles
Et qui dorment debouts
C'est à son crépuscule
Que commence leur vie
Plein de bouts minuscules
D'un visage qui rit
Un soleil plein d'nuages
Qui vient comme il s'enfuit
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