Un jour, ils se diront (Appassionata & Tilou)
Un jour, je lui dirai...
Qu'au travers de ses brumes folie
Derrière les portes closes de son cœur,
La maladresse de ses ardeurs,
Le verre brisé de ses nuits...
Un jour, tu lui diras...
Qu'au delà des silences que t'enchaînent
Qu'au delà de l'absence qu'elle t'enseigne
Que c'est la blondeur des blés sous un soleil d'été
La folie sans douceur, cette douleur d'enfance
Qui se joue de ses rêves et s'étale à ses pieds
Un jour, il me dira...
Malgré ses pages blanches de rêves,
Les larmes retenues sur un espoir vain,
Les lignes sanglantes de ses mains,
Les ombres de sa douceur trop brève...
Un jour, elle me dira...
A nos corps amarrés
Au son des cornes qui sonnent la marée
Sous le reflux qui nous imprègne,
En l'écume qui nous enseigne
Ce que le vent nous sème...
Un jour, nous nous dirons
Que nos regards blasés
Se promettront des ici et ailleurs,
Les faces à faces au bonheur
Et les évidences ignorées
Que les frissons auréolés de nos rires
Glisseront sur les fissures éperdues
De ce que nos mémoires ont perdu
Une nouvelle histoire a réécrire
Avec les voiliers qui tanguent sous l’amour
Retrouver l’insouciance... l’innocence
L'ascension... avec le monde autour
Un jour, nous vous dirons
Que c'est le printemps tout beau.
Les enfants du rien sont là, à jouer,
A dessiner des avions de papier,
A encager des rêves du fond d'une prison
A immerger des bateaux au fond d'une boisson...
Ce sont les enfants de l'hiver,
Ils ont froid en ce beau mois de juin
Dans leur vague ritournelle...
Ils ont de la musique, aux mots de leur prière,
Ils ont refermé la porte des lendemains,
Et les violons chantent leurs ciels...
Un jour, ils se diront...
Sur le bord d'un trottoir
La rive d'une plage
Leur yeux sous un air titubé
A leurs lèvres nouées
Et le crépuscule pas sage
Les envolées de leur voix
Sur les pavés où ricochent
les refrains grisés où se rapprochent
Les pas qui dansent sur les prés
Les fleurs qui fleurissent à leurs baisers
Un jour, ils se diront "Je t'aime"
Appassionata & Tilou
juin 2007
Qu'au travers de ses brumes folie
Derrière les portes closes de son cœur,
La maladresse de ses ardeurs,
Le verre brisé de ses nuits...
Un jour, tu lui diras...
Qu'au delà des silences que t'enchaînent
Qu'au delà de l'absence qu'elle t'enseigne
Que c'est la blondeur des blés sous un soleil d'été
La folie sans douceur, cette douleur d'enfance
Qui se joue de ses rêves et s'étale à ses pieds
Un jour, il me dira...
Malgré ses pages blanches de rêves,
Les larmes retenues sur un espoir vain,
Les lignes sanglantes de ses mains,
Les ombres de sa douceur trop brève...
Un jour, elle me dira...
A nos corps amarrés
Au son des cornes qui sonnent la marée
Sous le reflux qui nous imprègne,
En l'écume qui nous enseigne
Ce que le vent nous sème...
Un jour, nous nous dirons
Que nos regards blasés
Se promettront des ici et ailleurs,
Les faces à faces au bonheur
Et les évidences ignorées
Que les frissons auréolés de nos rires
Glisseront sur les fissures éperdues
De ce que nos mémoires ont perdu
Une nouvelle histoire a réécrire
Avec les voiliers qui tanguent sous l’amour
Retrouver l’insouciance... l’innocence
L'ascension... avec le monde autour
Un jour, nous vous dirons
Que c'est le printemps tout beau.
Les enfants du rien sont là, à jouer,
A dessiner des avions de papier,
A encager des rêves du fond d'une prison
A immerger des bateaux au fond d'une boisson...
Ce sont les enfants de l'hiver,
Ils ont froid en ce beau mois de juin
Dans leur vague ritournelle...
Ils ont de la musique, aux mots de leur prière,
Ils ont refermé la porte des lendemains,
Et les violons chantent leurs ciels...
Un jour, ils se diront...
Sur le bord d'un trottoir
La rive d'une plage
Leur yeux sous un air titubé
A leurs lèvres nouées
Et le crépuscule pas sage
Les envolées de leur voix
Sur les pavés où ricochent
les refrains grisés où se rapprochent
Les pas qui dansent sur les prés
Les fleurs qui fleurissent à leurs baisers
Un jour, ils se diront "Je t'aime"
Appassionata & Tilou
juin 2007
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