L'aube
L’aurore pointe son nez
Dans ce ciel ensoleillé
Teinté de mille pastels
Spectacle de l’Immortel
Bleuté il s’est embrasé
Comme une feuille en papier
Il se rappelle des instants
Qu’on avait cru s’échappant
Il se souvient de la nuit
Quand la vie s’est épanouie
Lors l’or des corps a coulé
Dans l’heure ainsi sublimée
Quand le décor s’est noyé
Dans la bleue mer affolée
C’était le temps du nu âge
Epais, troublant des nuages
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