De rebus quas in nocturna videtur
Je marche dans le désert
Sans superflu sans affaire
Je goûte à l’eau de l’oasis
Qui au fond de moi glisse
J’embrasse les deux dunes
Aussi rondes que la lune
Défait de toute parole acerbe
Je vais me coucher sur l’herbe
Bouclée belle chatouillante
Réelle tant le rêve hante
Je descends un peu plus bas
Vers la grotte close là-bas
Il suffirait qu’un autre le fasse
Que par ma propre main il trépasse
C’est destiné à mes prochains
Pas à un clandestin
Sans superflu sans affaire
Je goûte à l’eau de l’oasis
Qui au fond de moi glisse
J’embrasse les deux dunes
Aussi rondes que la lune
Défait de toute parole acerbe
Je vais me coucher sur l’herbe
Bouclée belle chatouillante
Réelle tant le rêve hante
Je descends un peu plus bas
Vers la grotte close là-bas
Il suffirait qu’un autre le fasse
Que par ma propre main il trépasse
C’est destiné à mes prochains
Pas à un clandestin
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire