L'Orviétan
C'est une île un atoll une terre de fée
Où la bête s'immole en ce torse versant
Une pierre avinée par les nus insouciants
Abîmés par les vents qui leur soufflent l'été
C'est de l'or à ces cils un miroir aux alouettes
Pour le port que des mil ont mouillé de leurs encres
En mémoire ascète de ces vies passées cancres
Que l'on jette à l'ancre à deux doigts de l'arête
Si son corps d'alalie n'en accroche à l'étoile
Qu'une scène affadie par l'éclat de l'obscène
On taira l'homélie au parfum de santal
Lors les blés seront lit aux marées d'équinoxe
Se plieront à l'envie sans l'amour qui la peine
La pilule ectasy échappée de l'intox
Où la bête s'immole en ce torse versant
Une pierre avinée par les nus insouciants
Abîmés par les vents qui leur soufflent l'été
C'est de l'or à ces cils un miroir aux alouettes
Pour le port que des mil ont mouillé de leurs encres
En mémoire ascète de ces vies passées cancres
Que l'on jette à l'ancre à deux doigts de l'arête
Si son corps d'alalie n'en accroche à l'étoile
Qu'une scène affadie par l'éclat de l'obscène
On taira l'homélie au parfum de santal
Lors les blés seront lit aux marées d'équinoxe
Se plieront à l'envie sans l'amour qui la peine
La pilule ectasy échappée de l'intox
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