Aux calendes de juin
Aux calendes de juin, dans les vaux où le temps
A brui les souvenirs pour les rendre sans teint
L'intestin se mutine au son des vers hautains
Qui chantonnent que rien ne pardonne le sang
Le soleil peut brunir la peau de la Madone
Aux rythmes fats et vains d'une nuit qu'on pastelle
Pour la faire tenir à cette jarretelle
Où la fin est rengaine à celle qui se donne
Emporte-la bien loin sous le vent dans la veine
Avant que le regain au matin ne l'égrène
Dans le gris du crachin qu'elle porte en son sein
T'auras beau jeu d'écrire sur les murs de Sienne
Que le rouge était beau qu'il crevait le dilemme
L'ombre de l'assassin sera toujours la tienne
A brui les souvenirs pour les rendre sans teint
L'intestin se mutine au son des vers hautains
Qui chantonnent que rien ne pardonne le sang
Le soleil peut brunir la peau de la Madone
Aux rythmes fats et vains d'une nuit qu'on pastelle
Pour la faire tenir à cette jarretelle
Où la fin est rengaine à celle qui se donne
Emporte-la bien loin sous le vent dans la veine
Avant que le regain au matin ne l'égrène
Dans le gris du crachin qu'elle porte en son sein
T'auras beau jeu d'écrire sur les murs de Sienne
Que le rouge était beau qu'il crevait le dilemme
L'ombre de l'assassin sera toujours la tienne
1 commentaire:
Ouais, bof !
C'est quoi cette poésie à trois sous ? On la croirait écrite par un ordinateur, ou quasiment.
Pensée binaire, ou pas loin.
Sarg
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