C’est du cinéma tout ça
C’est comme ça que le silence s’installe. Un beau jour où il fait beau dehors. J’ai encore le pansement sur le bras. Je devrais l’enlever. Je dois aller chercher le bout de papier ce soir. Il n’y aura rien de formidable d’écrit. On sait bien que c’est du cinéma tout ça. Qu’en fait, il n’y a rien. On cherche exprès au mauvais endroit pour éviter de trouver. Enfin. Peut-être qu’il n’y aura rien. Peut-être pas. Mais s’il y a, je ne m’en étonnerai pas plus que cela. Je sais bien ce que je fais et ce que je ne fais pas. Que je suis une plaie à essayer de relever. Que je pèse de tout mon poids.
Enfin. Finalement, on verra. Aucune histoire n’est écrite, surtout celle qu’on ne veut pas. Même si elle nous attire à elle parce que le reste ne compte plus ou presque pas.
Retrouver l’envie et ne pas se laisser là. Au bord de la route, avec nos yeux de merlan frit, ces pupilles qui ne brillent plus.
En attendant, on est là à se demander ou presque pas, si l’on va s’en reprendre un verre ou pas.
Enfin. Finalement, on verra. Aucune histoire n’est écrite, surtout celle qu’on ne veut pas. Même si elle nous attire à elle parce que le reste ne compte plus ou presque pas.
Retrouver l’envie et ne pas se laisser là. Au bord de la route, avec nos yeux de merlan frit, ces pupilles qui ne brillent plus.
En attendant, on est là à se demander ou presque pas, si l’on va s’en reprendre un verre ou pas.
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