Un peu trop
Quand la ligne s'étire
Et la lune se fait point
Quand les airs sans lyre
Importunent même en vain
C'est l'enfant qui retire
sa menotte de nos mains
Et l'espoir qui expire
Sur la note qui ne tient
On rêvait d'avenir
De ces braises qui reprennent
A ce vent de désir
Que nos aises nous aliènent
On creusait un empire
Dans la terre couleur Sienne
Les couloirs de nos ires
Du trottoir de la Seine
A ces rues qui disent faux
De Défense à Vincennes
Qu'une ligne de métro
Pour que l'ombre de la myrrhe
Apparaisse de trop
Et nos riens iront tiédir
En nos mers sans eaux
Et la lune se fait point
Quand les airs sans lyre
Importunent même en vain
C'est l'enfant qui retire
sa menotte de nos mains
Et l'espoir qui expire
Sur la note qui ne tient
On rêvait d'avenir
De ces braises qui reprennent
A ce vent de désir
Que nos aises nous aliènent
On creusait un empire
Dans la terre couleur Sienne
Les couloirs de nos ires
Du trottoir de la Seine
A ces rues qui disent faux
De Défense à Vincennes
Qu'une ligne de métro
Pour que l'ombre de la myrrhe
Apparaisse de trop
Et nos riens iront tiédir
En nos mers sans eaux
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