Et pourtant l'on y croit
Quand l'oiseau sans ailes abhorre l'horizon
Que le ciel se flétrit aux rivières d'argent
Le soleil aux absents aborde l'hors-saison
Sous le lucre malin d'un matin sans amants
Le miroir indécent dessine le poupon
L'image d'Epinal de ces rêves d'avant
Aux couleurs automnales qu'on rangeait au fond
A côté du berceau fichu et insouciant
Et les anges déçus saignés aux quatre veines
Sur le bord esquissant la chute de l'intrus
Ont le coeur en tempête et la bave des chiennes
Le tiroir incommode aux papiers incendiés
Se referme à ces temps que conjugue le pus
De l'imbu des égos à la vie insensée
Que le ciel se flétrit aux rivières d'argent
Le soleil aux absents aborde l'hors-saison
Sous le lucre malin d'un matin sans amants
Le miroir indécent dessine le poupon
L'image d'Epinal de ces rêves d'avant
Aux couleurs automnales qu'on rangeait au fond
A côté du berceau fichu et insouciant
Et les anges déçus saignés aux quatre veines
Sur le bord esquissant la chute de l'intrus
Ont le coeur en tempête et la bave des chiennes
Le tiroir incommode aux papiers incendiés
Se referme à ces temps que conjugue le pus
De l'imbu des égos à la vie insensée
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