Comme un jouet qui se serait cassé...
Comment le dire ? Comment faire sortir l'amertume d'avoir cru qu'un "tiens" valait mieux que plusieurs "tu l'auras"... D'avoir cru que l'on pouvait vivre sans respecter les règles, de faire ce qu'il y avait à faire... Si peu de choses au final que ça se compte sur chacun de tes doigts.
Comment faire couler cette larme qui reste accrochée à la prunelle de nos yeux... Sans parler, ni se voir... Comment de nouveau y croire ? Je ne suis pas fait comme toi... Je ne sais pas haïr, je ne sais pas ne plus avoir d'espoir... Je ne sais pas non plus comment continuer à me regarder dans le miroir.
Sûrement que tu le sais toi... Comment faire pour nier une certaine vérité et continuer d'avancer en laissant de côté cette croix... Comment fais-tu donc pour ne plus la regarder ? J'ai essayé... Crois-moi... Mille fois...
Mais c'est les cauchemars qui m'ont rattrapé... Qu'ont hanté et qui hantent encore le théâtre de mes nuits et de ce qui reste de celui de mes pensées...
Je m'étais dit que ce serait plus simple d'attraper des papillons plutôt que de les faire pousser... Mais ce n'était qu'une vision d'illuminé... D'un naïf qui se complait dans ses erreurs et qui pleure pour éviter de penser la plaie...
La réalité est fichue de maquillage et ce n'est pas l'âge qui est là pour le rattraper... Quand un navire s'est échoué une fois, il oublie que les autres sont là... Il jouit mais ne veut plus partager... Comme un jouet qui se serait cassé...
Puisse-t-il y avoir un jour, un moyen de le recoller...
Comment faire couler cette larme qui reste accrochée à la prunelle de nos yeux... Sans parler, ni se voir... Comment de nouveau y croire ? Je ne suis pas fait comme toi... Je ne sais pas haïr, je ne sais pas ne plus avoir d'espoir... Je ne sais pas non plus comment continuer à me regarder dans le miroir.
Sûrement que tu le sais toi... Comment faire pour nier une certaine vérité et continuer d'avancer en laissant de côté cette croix... Comment fais-tu donc pour ne plus la regarder ? J'ai essayé... Crois-moi... Mille fois...
Mais c'est les cauchemars qui m'ont rattrapé... Qu'ont hanté et qui hantent encore le théâtre de mes nuits et de ce qui reste de celui de mes pensées...
Je m'étais dit que ce serait plus simple d'attraper des papillons plutôt que de les faire pousser... Mais ce n'était qu'une vision d'illuminé... D'un naïf qui se complait dans ses erreurs et qui pleure pour éviter de penser la plaie...
La réalité est fichue de maquillage et ce n'est pas l'âge qui est là pour le rattraper... Quand un navire s'est échoué une fois, il oublie que les autres sont là... Il jouit mais ne veut plus partager... Comme un jouet qui se serait cassé...
Puisse-t-il y avoir un jour, un moyen de le recoller...
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Les passions anonymes
Idolâtre les étoiles pour qu'elles paraissent plus haut
l'altitude de nos mains renversées
à nos culs qui se mêlent d'un sang
Qu'on a mille fois versé
C'est la vie sans entracte qui laisse les maux de côté
Et l'hiver qui remonte la neige
sur les bords de tes yeux
Et les rêves alcool ne te tueront que le foie
alors tu peux encor la raconter cette histoire
celle qui commence par "il était une fois.."
...
Comme la tristesse que tu gardes
Au creux de tes reins
S'empare de l'ivresse
Qui me remplit les yeux
Comme les rêves qu'on regarde
Qui paraissent si loin
Dans ce monde sans finesse
Qui nous envole que trop peu
...
plus rien n'a d'importance et ça peux-tu seulement le concevoir.. ou l'entendre.... A défaut de comprendre un esprit qui s'est calciné d'alcool... qui s'est meurtri de crimes qu'il n'a pas commis...
Peux-tu seulement le concevoir dans une dimension parallèle de ton cerveau..
dans celle où j'ai encore une chance de transpercer ta peau...
...
Comme on croit, on s'attarde
Sur un verre déjà plein
Au clair d'une promesse
Sans instant, sans mot ni lieu
Comme tout ça est si vieux
Qu'il dénonce la jeunesse
Et ses ciels si lointains
Ses blessures qu'on ravive par mégarde
Dans la plaie une écharde
Qui me reste dans la main
Les passions anonymes
Idolâtre les étoiles pour qu'elles paraissent plus haut
l'altitude de nos mains renversées
à nos culs qui se mêlent d'un sang
Qu'on a mille fois versé
C'est la vie sans entracte qui laisse les maux de côté
Et l'hiver qui remonte la neige
sur les bords de tes yeux
Et les rêves alcool ne te tueront que le foie
alors tu peux encor la raconter cette histoire
celle qui commence par "il était une fois.."
...
Comme la tristesse que tu gardes
Au creux de tes reins
S'empare de l'ivresse
Qui me remplit les yeux
Comme les rêves qu'on regarde
Qui paraissent si loin
Dans ce monde sans finesse
Qui nous envole que trop peu
...
plus rien n'a d'importance et ça peux-tu seulement le concevoir.. ou l'entendre.... A défaut de comprendre un esprit qui s'est calciné d'alcool... qui s'est meurtri de crimes qu'il n'a pas commis...
Peux-tu seulement le concevoir dans une dimension parallèle de ton cerveau..
dans celle où j'ai encore une chance de transpercer ta peau...
...
Comme on croit, on s'attarde
Sur un verre déjà plein
Au clair d'une promesse
Sans instant, sans mot ni lieu
Comme tout ça est si vieux
Qu'il dénonce la jeunesse
Et ses ciels si lointains
Ses blessures qu'on ravive par mégarde
Dans la plaie une écharde
Qui me reste dans la main
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