Comme des oiseaux un peu barges
Quand tes mots diront fin
Qu’il ne sera plus tôt
Qu’à nos heures sans maux
Il se fera si tard
Dis-le, viens près de moi
Qu’on se touche du doigt
Qu’on imprime à nos corps
Les plus belles ratures
Qu’on défasse l’armure
Que l’on plie ce tréma
Qu’on écoule ton or
Sur le lin de nos draps
On ira voir le large
Les bateaux un peu barges
Arrimés tout l’été
Aux falaises cassées
Quand tes mots diront fin
Qu’il ne sera plus tôt
Qu’à nos heures sans maux
Il se fera si tard
Dis-le, viens près de moi
Qu’on se couche ici-bas
Que l’on louche la croix
Plantée au fond de toi
Qu’importe les saisons
S’il faut que nous poussions
Jusqu’à ta floraison
Même que nous allions
Aux points de suspension
On ira voir le large
Les oiseaux un peu barges
Envolés au bordel
De nuages trop ciel
Qu’il ne sera plus tôt
Qu’à nos heures sans maux
Il se fera si tard
Dis-le, viens près de moi
Qu’on se touche du doigt
Qu’on imprime à nos corps
Les plus belles ratures
Qu’on défasse l’armure
Que l’on plie ce tréma
Qu’on écoule ton or
Sur le lin de nos draps
On ira voir le large
Les bateaux un peu barges
Arrimés tout l’été
Aux falaises cassées
Quand tes mots diront fin
Qu’il ne sera plus tôt
Qu’à nos heures sans maux
Il se fera si tard
Dis-le, viens près de moi
Qu’on se couche ici-bas
Que l’on louche la croix
Plantée au fond de toi
Qu’importe les saisons
S’il faut que nous poussions
Jusqu’à ta floraison
Même que nous allions
Aux points de suspension
On ira voir le large
Les oiseaux un peu barges
Envolés au bordel
De nuages trop ciel
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