Que des doutes et des "peut-être pas"
La nuit avance, les minutes marquent le pas et chaque heure résonne. A ces paroles de la nuit qui ne viennent, à cette image de toi que je sens et qui fuit. Si je crois à mon offense, je n’ai guère d’illusion sur ton innocence. La nuit avance à petits pas et peut-être la distance qui m’éloigne de toi. J’ai perdu la décence de masquer la tendresse que mes yeux laissent sur toi, que mes yeux laissent à chaque fois… Mais si c’était de l’indifférence, le son serait-il si bas ?
Peut-être que la cécité me gagne pour laisser la place à tous les rêves qu’on ne t’a jamais réalisés ? Peut-être que je suis sourd à dessein ? Peut-être que le dessin n’a pas de contour juste celui que l’on voudra bien.
La nuit avance et je ne dors toujours pas. J’ai les mots qui me démangent et le cœur qui bat.
Peut-être que la cécité me gagne pour laisser la place à tous les rêves qu’on ne t’a jamais réalisés ? Peut-être que je suis sourd à dessein ? Peut-être que le dessin n’a pas de contour juste celui que l’on voudra bien.
La nuit avance et je ne dors toujours pas. J’ai les mots qui me démangent et le cœur qui bat.
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