On ne saura jamais...
On aura beau l’écrire, on ne saura jamais. Jamais les mots, jamais les phrases pour se le dire… On aura beau le vivre, passer toutes les nuits comme ça, juste à côté… J’ai oublié de te dire… Oui… Mais tu le sais… Quand on se croise, quand nos yeux sont joueurs, tu le sais… Comme tu sais que je suis ailleurs, que j’essaie de construire un rêve dont je ne connais que la rancœur.
On aura beau l’écrire, c’est le temps qui nous rattrape, la nature aussi… C’est fou comme le besoin est supérieur à nos convictions. Un jour, je finirai par revenir… Peut-être que ce sera toi.
On peut chercher, se justifier, trouver mille raisons à cela… C’est la culture qui fait notre honte… Il y a celles qui ont fuit… Celles qui se sont suicidées… Celles qui n’ont aucune idée… Celles qui n’ont pas le temps de s’en préoccuper…
On aura beau l’écrire, on ne saura jamais pourquoi, il faut aller et venir… Le souffrir, en sourire…
On ne saura jamais de quoi demain sera fait… Alors pourquoi empêcher les bourgeons de fleurir ?
On aura beau l’écrire, c’est le temps qui nous rattrape, la nature aussi… C’est fou comme le besoin est supérieur à nos convictions. Un jour, je finirai par revenir… Peut-être que ce sera toi.
On peut chercher, se justifier, trouver mille raisons à cela… C’est la culture qui fait notre honte… Il y a celles qui ont fuit… Celles qui se sont suicidées… Celles qui n’ont aucune idée… Celles qui n’ont pas le temps de s’en préoccuper…
On aura beau l’écrire, on ne saura jamais pourquoi, il faut aller et venir… Le souffrir, en sourire…
On ne saura jamais de quoi demain sera fait… Alors pourquoi empêcher les bourgeons de fleurir ?
Articles
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire