Un sentier, ça n'empêche pas de marcher...
Les jours approchent et j’y pense à nouveau. Je n’y peux rien. C’est la mémoire qui ne s’efface pas sur des gerçures si profondes… Je me victimise pour éviter d’assumer que mes reculades, que mes délires, que ces choses qui vous font mal quand vous me regardez, vous m’écoutez, tout cela n’est bien accroché qu’à une et une seule chose : moi. Je suis désolé. Je vous fais payer ma propre déception, ce goût d’amer dont je n’arrive pas à me libérer.
Je n’attends rien d’autre que des gifles pour que vous me disiez que vous m’aimez. Je calme mes angoisses, je comble mes crevasses en imaginant que ce sont les vôtres qui m’empêchent d’avancer.
Faut-il m’en vouloir ? Faut-il y remédier ou le laisser passer ? La vie c’est pas une chose belle, mais c’est une histoire avec des autoroutes et bien souvent des sentiers… Mais un sentier, ça n’empêche de marcher… Et même que je le veux, je ne tiens pas à ce que vous m’aidiez…
Je n’attends rien d’autre que des gifles pour que vous me disiez que vous m’aimez. Je calme mes angoisses, je comble mes crevasses en imaginant que ce sont les vôtres qui m’empêchent d’avancer.
Faut-il m’en vouloir ? Faut-il y remédier ou le laisser passer ? La vie c’est pas une chose belle, mais c’est une histoire avec des autoroutes et bien souvent des sentiers… Mais un sentier, ça n’empêche de marcher… Et même que je le veux, je ne tiens pas à ce que vous m’aidiez…
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire