Le mien continuera de rêver...
Comment te dire le comment et le pourquoi quand moi-même, je ne le sais… Est-ce que parce que je cherche à tout prix à m’éloigner de cette idée qui m’a noyé d’alcool, saoulé de pleurs… L’idée d’un rien, d’une vague envie qui venait finalement de loin… Combien de rivières de larmes faut-il traverser ? Avant d’oublier… De te trouver peut-être… Qui sait… J’ai accroché dans le fond de tes yeux, dans cette moue indicible, l’idée qu’on peut faire les choses… Le défaire peut-être… Sans s’emmêler… J’ai dans mon cœur cette idée égoïste de donner… De réaliser les rêves des autres… Parce que les miens se sont arrêtés… Un jour de septembre… Peut-être de janvier… Je n’en sais plus rien… Je ne suis pas sûr de cette chose qui m’a germé… Des fois… Elle me fait douter… Car je n’ai jamais su mettre d’échelle et mesurer… Toi… Elle… Elles au quotidien… Elles au passé… Au final… Faut-il regretter ? Faut-il pleurer l’illusion ? Plutôt que sourire à un rêve ancré dans les petites choses de la réalité ?
On peut imaginer un orchestre avec tous ses violons…. Alors qu’une simple guitare… aux cordes désaccordées… suffisent à te remonter ce trop plein que tu n’as jamais voulu pleurer…
Les voir pleurer parce qu’ils sont effrayés… Les voir sourire l’instant d’après parce que la réalité ne les a pas tout à fait rattrapés… Tu vois… Le mien continuera de rêver parce qu’il n’aura jamais connu la vie… Et c’est bien… Je garderai pour moi pour n’y avoir été pour rien… Je laisserai mes larmes couler, juste pour qu’il sache… Que c’est comme ça que ça aurait été…
Ce petit bonhomme, cette petite fée… Aux ailes mal faites… Qu’on aurait d’une manière ou d’une autre… fait voler…
On peut imaginer un orchestre avec tous ses violons…. Alors qu’une simple guitare… aux cordes désaccordées… suffisent à te remonter ce trop plein que tu n’as jamais voulu pleurer…
Les voir pleurer parce qu’ils sont effrayés… Les voir sourire l’instant d’après parce que la réalité ne les a pas tout à fait rattrapés… Tu vois… Le mien continuera de rêver parce qu’il n’aura jamais connu la vie… Et c’est bien… Je garderai pour moi pour n’y avoir été pour rien… Je laisserai mes larmes couler, juste pour qu’il sache… Que c’est comme ça que ça aurait été…
Ce petit bonhomme, cette petite fée… Aux ailes mal faites… Qu’on aurait d’une manière ou d’une autre… fait voler…
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