A ces instants fragiles.....
Au clavier dont on effleure les touches
Aux larmes qui affleurent avant qu'elle ne se couche
Cette lumière, cette étoile que tu noies
A coups de prières, à coups de caramel-vodka,
A ces instants fragiles qui lorgnent à l'horizon
De tes mains agiles... Qui ne touchent jamais rien
Ce sont les étoiles dans tes yeux prisons
Qui crient dans le néant... la lueur de demain...
Des deux mains... nouées... enlacées... Comme de rien
Quand à tes mots sans glace...
C'est la mélancolie tristesse qui m'embrasse...
Doit-on dire les mots que l'on sait que trop bien...
Sur la frontière dont on ne doit jamais
Franchir le pas
A toutes ces guerres que nous ne nous ferons pas...
C'est la nuit, la distance qui nous font vrais...
Au clavier, que l'on joue
Comme si c'était un piano...
On se doit à nos envies, d'être fous
De pousser plus loin, d'aller au bout
De faire comme il fallait, comme il faut....
Je ne dirai pas ce que le vent ramène
Dans le tourbillon qui l'enseigne
L'alcool est de saison
Quand elle paraît si loin, cette maison
Et je fermerai tes paupières
J'éteindrai la flamme de tes yeux
Pour qu'elle brûle à ton enfer
Qui te rime bien mieux
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