Quoique au rien quand bien même
De rubis, de diadèmes, quoique le vent me sème, je ne te dirai pas, quoique la nuit éteigne, elle sera.
De lubies, de blasphèmes, quoique le vide m'imprègne, je ne cèderai pas, quoique deux mains me saignent, il me mordra.
Quoique ma tête est pleine de dilemmes, de photos noir et blanc d'un père qui voit sa fille qui se suicide, ces images qui s'insèrent ont des relans acides...
De fourbis en lasses flemmes, quoique ta lune ne vienne, je ne promettrai pas, sûrement, peut-être pas. Quoique la vie m'enseigne, je ne t'apprendrai pas, je murmurai d'ici-bas.
Quoique au rien quand bien même, je te le dirai tout bas.
De lubies, de blasphèmes, quoique le vide m'imprègne, je ne cèderai pas, quoique deux mains me saignent, il me mordra.
Quoique ma tête est pleine de dilemmes, de photos noir et blanc d'un père qui voit sa fille qui se suicide, ces images qui s'insèrent ont des relans acides...
De fourbis en lasses flemmes, quoique ta lune ne vienne, je ne promettrai pas, sûrement, peut-être pas. Quoique la vie m'enseigne, je ne t'apprendrai pas, je murmurai d'ici-bas.
Quoique au rien quand bien même, je te le dirai tout bas.
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