La, La, La
De cette dent de vers du sable,
Danse de sabres sous la lune d'argent,
De ce corps cousu d'éclisses,
Les yeux dans la nuit amants
Glissent
De dix planètes cherchant sous la dune
La onzième
En vain
Que le blizzard qui gèle au rien
Les sème
Poésie étreinte de lumières éteintes
Vacillent les bulles
Mordent les tarentules
Poésie païenne enceinte
L'histoire cent fois la même
Bleue ou rouge elle dira pilule
Crevant le mince ventricule
Poésie païenne des quarantièmes
Qu'un seul pleur, qu'une peine
Résonnent les mélodies fremens
Comme une plume de métal
Reflet d'argent, blancheur létale
Fichée dans la paume de ta main
Damasquinée de runes d'airain
Flamboie de la tête au bas ventre
L'ombre pénétrante
Kindjal
Danse de sabres sous la lune d'argent,
De ce corps cousu d'éclisses,
Les yeux dans la nuit amants
Glissent
De dix planètes cherchant sous la dune
La onzième
En vain
Que le blizzard qui gèle au rien
Les sème
Poésie étreinte de lumières éteintes
Vacillent les bulles
Mordent les tarentules
Poésie païenne enceinte
L'histoire cent fois la même
Bleue ou rouge elle dira pilule
Crevant le mince ventricule
Poésie païenne des quarantièmes
Qu'un seul pleur, qu'une peine
Résonnent les mélodies fremens
Comme une plume de métal
Reflet d'argent, blancheur létale
Fichée dans la paume de ta main
Damasquinée de runes d'airain
Flamboie de la tête au bas ventre
L'ombre pénétrante
Kindjal
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