Mon rêve
Je rêve de toi, de tes yeux,
De ton corps que je ne sais pas,
D’être sur tes reins dans le creux,
De ne jamais revenir là ;
J’ai tant de chose à te dire,
A te murmurer dans l’oreille ;
Je veux partir et puis mourir
Dans le jardin des sept merveilles ;
Je te veux toi, pour toi, pour moi,
Portée toutes voiles dehors ;
Je voudrais et je ne veux pas
Que mon navire ne soit d’or ;
Je voudrais une mer houleuse
Qui nous emporterait très loin
Des habitudes ennuyeuses,
De ce habituel train-train ;
Je t’offrirai de belles fleurs
Qui fleuriront ton ventre rond ;
Je t’offrirai de longues heures
Ornées d’amour et de passion ;
Nous aurons quatre grands murs blancs
Que nous décorerons de roses,
Sentant des parfums inquiétants,
Qui nous sortiront du morose ;
Je t’emmènerai, tout là-haut,
Jusqu’à l’étoile où je suis né,
Dans les cieux les plus beaux :
Tu seras heureuse, juré !
Alors nous resterons là-bas,
Tous les deux pour toujours, enfin !
Et nous regarderons en bas,
Se fatiguer ces crétins ;
Et devant leurs visages blêmes,
Ils verront, ces cons, que je t’aime !
De ton corps que je ne sais pas,
D’être sur tes reins dans le creux,
De ne jamais revenir là ;
J’ai tant de chose à te dire,
A te murmurer dans l’oreille ;
Je veux partir et puis mourir
Dans le jardin des sept merveilles ;
Je te veux toi, pour toi, pour moi,
Portée toutes voiles dehors ;
Je voudrais et je ne veux pas
Que mon navire ne soit d’or ;
Je voudrais une mer houleuse
Qui nous emporterait très loin
Des habitudes ennuyeuses,
De ce habituel train-train ;
Je t’offrirai de belles fleurs
Qui fleuriront ton ventre rond ;
Je t’offrirai de longues heures
Ornées d’amour et de passion ;
Nous aurons quatre grands murs blancs
Que nous décorerons de roses,
Sentant des parfums inquiétants,
Qui nous sortiront du morose ;
Je t’emmènerai, tout là-haut,
Jusqu’à l’étoile où je suis né,
Dans les cieux les plus beaux :
Tu seras heureuse, juré !
Alors nous resterons là-bas,
Tous les deux pour toujours, enfin !
Et nous regarderons en bas,
Se fatiguer ces crétins ;
Et devant leurs visages blêmes,
Ils verront, ces cons, que je t’aime !
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