Foutu rivage...
J'ai arrêté d'écrire les paroles de la chanson. Il y avait trop de mots et pas assez d'avions. Les maux n'étaient pas sages et ce printemps trop plein d'orages. Je sais que je ne sais plus combien y avait de pages. Je lui avais dit, elle avait ri en mode brouillage.
Combien de mots m'a-t-elle brisés sur les ruines de mon cerveau ? Combien de soirées m'a-t-elle gâchées en simplement deux ou trois mots ?
Et pourtant... J'y reviens sans cesse... Et c'est toujours cette tendresse qui revient. Elle était paumée. Elle savait rien... Elle s'était envolé. Trop haut pour elle. Trop bien pour moi. La nuit l'avait enflée d'un rêve un peu idiot.
Comme un voyageur qui serait parti trop tôt.
Je voudrais mettre ces choses sur l'autre page. Laisser les mots et puis tourner la page... Mais faut croire que j'aime encore son foutu rivage... Et qu'il m'emmène encore, quand j'oublie, sur les nuages...
...
Combien de mots m'a-t-elle brisés sur les ruines de mon cerveau ? Combien de soirées m'a-t-elle gâchées en simplement deux ou trois mots ?
Et pourtant... J'y reviens sans cesse... Et c'est toujours cette tendresse qui revient. Elle était paumée. Elle savait rien... Elle s'était envolé. Trop haut pour elle. Trop bien pour moi. La nuit l'avait enflée d'un rêve un peu idiot.
Comme un voyageur qui serait parti trop tôt.
Je voudrais mettre ces choses sur l'autre page. Laisser les mots et puis tourner la page... Mais faut croire que j'aime encore son foutu rivage... Et qu'il m'emmène encore, quand j'oublie, sur les nuages...
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