Un court version accéléré
Hier j’ai vu la vie au travers du miroir. Une version accélérée en blanc et noir. J’ai eu envie de pleurer et je l’ai fait. C’était pas de la tristesse pas même de la gaieté. C’était un truc que tu ne sais pas, qui te revient de loin, qui te brise la tête et la mets en miettes. Et puis, tu t’arrêtes. Tu te dis… Qu’il y a encore des choses à faire. Que t’es pas tout seul même si… Qu’y a encore de l’espoir car y en a qui font le constat. De cette vie accidentée. Pas besoin d’assurance, on va la réparer… Un peu à la Mc Gyver (ah oui, lui, il te faisait rêver…), on va mettre des bouts de scotch sur ce papier crépon… Il aura sûrement une sale gueule, ton petit bonhomme aux yeux ronds... Mais il bouffera les barrières, les pavés ; il passera les ornières… Il te remontera ce truc que tu sais pas vraiment… Mais qu’est là tout au fond… Et cette fois-ci, tu passeras peut-être le pont.
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